jeudi 12 mars 2015

Auckland



Jeudi 12 Mars.

Nous venons de perdre, ou gagner une heure, je ne sais plus, et sommes depuis ce matin à 11H de la France. Après nous être éloignés pendant plus de 2 mois, nous commençons à nous rapprocher !

Nous voilà en mer à nouveau après un arrêt trop court à Auckland. Nous y sommes arrivés Mardi matin à 8H et hier à 13H nous étions déjà repartis !
La ville vaudrait qu’on s’y pose un peu plus longtemps, mais surtout on aurait aimé voir un peu plus de la Nouvelle Zélande. Ca fait partie des pays traversés où nous aimerions revenir ! Uniquement 4 millions et demi d’habitants mais 40 millions de moutons !!! Le nom Maori est Aoteroa signifiant Terre au long nuage blanc.

Les gens y sont très sympathiques, ne semblent pas être stressés ou particulièrement pressés comme on peut le voir dans nos grandes villes européennes, et l’atmosphère même de la ville nous a semblé très agréable. Le centre ville où nous étions amarrés (le bonheur de pouvoir descendre du bateau et d’être en centre ville !) possède de larges avenues, beaucoup d’arbres et de verdure, quelques tours de bureau, de magasins ou d’habitations, mais pas omniprésentes comme dans les villes américaines par exemple. Dès qu’on sort du centre ville on se retrouve dans des quartiers avec des bâtiments d’un seul étage, et avec beaucoup de belles maisons en bois de style colonial. Le must de la ville c’est la « Sky Tower », une tour ressemblant aux tours de Londres, Toronto, surmontées d’une antenne des télécoms et dans lesquelles on trouve des restaurants panoramiques « rotatifs » ?? « tournants » ?? (Revolving restaurant en anglais !) Celui d’Auckland tourne sur lui-même en 1H environ. C’est un bâtiment de 328m de hauteur, le plus haut de l’hémisphère sud…Apparemment après la construction du même type de tour à Sydney, les Néo-Zélandais ont rehaussé leur antenne pour garder la suprématie  de la hauteur !

Comme elle se trouve à peine à 20 minutes à pied du port, nous y sommes allés hier matin, et avons profité de belles vues sur la ville d’Auckland et ses nombreux volcans. En effet Auckland est bâtie sur une zone qui compte pas moins de 48 volcans dont un est endormi mais pas éteint. Sa dernière éruption date de 200 ans environ et il se réveillerait tous les 400 ans. Ouf! On l’a échappé belle!

Ce que nous avons visité de plus intéressant à Auckland est certainement le Musée. Nous y sommes allés en taxi Mardi matin et y avons passé un peu plus de 2 heures. Son nom officiel est « War Museum », musée de la guerre, mais en fait seul le dernier étage est consacré aux différentes guerres auxquelles ont participé les Néo Zélandais. D’ailleurs c’est véritablement la 1ère guerre mondiale qui reste dans la mémoire collective car sur les 1 million d’habitants de l’époque, 100 000 ont été enrôlés dans l’armée britannique pour aller combattre en Europe dont forcément de nombreux Maoris. Ils allaient combattre dans un régiment appelé ANZAC (Australia & New Zealand Army Corps), pour un pays, le Royaume Uni, qui ne leur avait même pas donné le droit de vote ! Ils ont apparemment joué un rôle conséquent dans la sauvegarde de certaines villes du nord de la France avec qui les contacts sont restés. Une ville en Normandie par exemple, le Quesnoy, dont le nom est même gravé au fronton du musée. Ce fut d’après notre jeune guide francophone, un désastre humain mais aussi économique pour le pays où il n’est resté que les vieillards, les femmes et les enfants jusqu’en 1919. Ils ont dû par la suite faire venir de nouveaux immigrants pour repeupler le pays. Ce fut aussi le cas pendant la 2ème guerre mondiale, et dans les années cinquante et soixante John se souvient encore des publicités incitant les Britanniques à émigrer en Nouvelle Zélande et Australie avec un passage en bateau pour uniquement 10 livres sterlings de l’époque. De nombreux ouvriers britanniques sans grand espoir d’un brillant futur en GB ont profité de l’offre et sont venus reconstruire la Nouvelle Zélande.

Le rez-de -chaussé du musée est consacré aux immigrants européens, mais surtout aux maoris et à leur culture. C’était passionnant!! On avait déjà eu un aperçu avec une conférence à bord et aussi grâce à un groupe folklorique Maori qui avait fait une démonstration de danses ancestrales dans le théâtre, en nous expliquant l’origine des différentes présentations. C’est un peuple dont l’histoire est très intéressante. Le musée présente des habitations typiques ainsi que des bateaux sur lesquels sont arrivés leurs ancêtres à partir, on suppose, du 12ème siècle après JC. Ils sont venus probablement des Îles de la Société en Polynésie française actuelle, apportant avec eux des animaux et des plantes qui ont dû s’acclimater à un pays beaucoup plus froid que leurs îles d’origine. Certaines espèces ont péri, et d’autres ont survécu. Sur ces immenses embarcations, ils pouvaient être jusqu‘à 200 personnes, et ils ne voyageaient pas seuls mais en flottilles de plusieurs bateaux. Ils avaient une société très organisée où le culte des ancêtres, comme dans les autres îles polynésiennes que nous avons visitées, tenait une grande place. D’ailleurs l’ancêtre était représenté sous forme de statue ou de buste au faîte des maisons. Tous les dessins ou sculptures avaient un sens explicite, en relation avec les Dieux mais aussi avec les ancêtres. A l’origine, les Maoris ne formaient pas un seul peuple homogène, mais des tribus qui s’opposaient souvent dans des guerres sanglantes. Comme nous l’avons appris en Polynésie française, ils étaient cannibales et mangeaient leurs adversaires vaincus, après les avoir offerts en sacrifice  à leurs dieux, afin de s’approprier leur force et leur courage. Le fameux Haka bien connu des rugbymen et de leurs fans peut être une danse de guerre sensée effrayer l’ennemi, mais c’est de façon plus générale un exercice qui leur permettait de se maintenir en forme physique, par exemple pour s’entraîner à manier les lances et autres armes de guerre. Les femmes qui fabriquaient les « tapas » (je vous en ai parlé dans l’article sur Tonga) se « dérouillaient » les mains avec des espèces de boules accrochées à des fils, les « Poïs » qu’elles faisaient tourner à des vitesses incroyables. Un peu comme les majorettes avec leurs bâtons!! Cela fait toujours parti des danses traditionnelles.

Les tatouages avaient également un sens religieux mais montraient aussi la force de caractère et le courage des jeunes hommes et femmes qui devaient se faire tatouer le visage et autres parties du corps avec des techniques moins douces qu’aujourd’hui!  Chaque courbe, chaque dessin avait un sens et une utilité correspondant au groupe  auquel ils appartenaient. Mais comme ils étaient peu nombreux dans chaque groupe, ils avaient également un certain souci de leur descendance et organisaient des rencontres avec les autres « tribus » afin de trouver des conjoints qui ne soient pas de la même famille, afin d’éviter les problèmes de consanguinité.

Je pourrais vous parler des Maoris pendant des pages, tellement nous avons été fascinés par leur culture et leur art. Comme les Aborigènes en Australie, (qui ne sont pas du tout de la même origine) ils ont été massacrés par les colons européens qui leur prenaient leurs terres, et jusqu’à peu, ils n’avaient pas vraiment de reconnaissance légale. Il n’y a que quelques années que la culture maori a été reconnue comme culture nationale et la langue Maori est devenu comme l’Anglais la langue nationale. D’ailleurs je fais une parenthèse, car nous avons appris que la Nouvelle Zélande avait 3 langues officielles : l’Anglais, le Maori et la Langue des Signes. Je trouve ça plutôt admirable ! Pour revenir aux Maoris, le guide que nous avions pendant l’excursion incluse de Costa (sans intérêt !) nous a dit que même si le gouvernement encourageait l’enseignement de leur langue, rien n’était obligatoire, et la langue disparait petit à petit par manque de gens qui la parle quotidiennement. Un peu comme nos langues régionales en France ! Les Maoris restent une catégorie de la population qui connaît le plus le chômage, la misère et les problèmes d’insécurités qui leur sont liés, la drogue étant en tête comme partout dans le monde. Il existe un ministère qui leur est dédié mais on a compris que ce qui était fait était marginal même si la volonté du gouvernement actuel est réelle toujours d’après notre jeune guide.

Le 1er étage du musée était, lui, consacré à la nature Néo-Zélandaise, et en particulier aux volcans. On pouvait même rentrer dans une maison dans le salon de laquelle la télé diffusait un flash spécial au sujet de l’imminence d’une éruption volcanique. Après quelques interviews d’experts, de quidams qui étaient évacués, et un « direct » depuis la baie d’Auckland où la mer bouillonnait, tout s’est tout à coup éteint, la maison a tremblé sur ses fondations, et à travers la baie vitrée du salon, nous avons assisté à la formation d’un nouveau volcan avec force explosions, nuages de cendres et raz de marée ! Et tout à coup plus rien…la vague nous avait submergés ! Puis la lumière est revenue et à travers la baie vitrée, on a pu admirer le nouveau volcan issu de l’explosion ainsi que le paysage lunaire laissé par le tsunami. La présentatrice télé est alors revenue pour nous recommander les bons gestes à tenir en cas d’éruption volcanique! Très réaliste comme démonstration et je me suis dit que finalement je ne viendrai pas habiter à Auckland…

Voilà pour notre escale Néo-Zélandaise, ce matin nous avons dû nous présenter aux autorités de l’immigration australiennes qui étaient monté à bord hier et qui ont vérifié nos passeports et les documents que nous avions dû remplir ! Un pays très strict quand à l’accueil d’étrangers même pour du tourisme !

Nous arrivons à Sydney Samedi matin et y restons 3 jours. Malheureusement nous serons dans la rade et pas à quai, donc « Bonjour la galère » !!! On vous a déjà raconté le « combat » pour obtenir les tickets de chaloupe…

Après m’être relue, je m’aperçois que j’ai à nouveau fait un pseudo cours d’histoire ! Désolée mais j’avais vraiment envie de vous parler des Maoris que je ne connaissais qu’à travers les All Black! Et encore vous avez échappé au pire !

Bisous à toutes et tous
Lots of love. 

M.Christine et John xxxxxxxxxxxxxxx



AUCKLAND 10 & 11TH MARCH

I am now losing track of time as we have lost a day but I do not know how to change the date and days on my superduppa Decathlon “Iron man” electronic watch – never had that problem before in the last 8  years that I have had this extremely reliable and resistant watch!

So after spending part of the previous evening looking both for the Southern Cross, the moon and my wife (we apparently did not understand where we were going to meet again after she had gone back to the cabin to get her camera and … that was before she met our most “charming” French language Costa client contact who apparently talked to her for more than an hour!), we got into Auckland about 7:30am. We were the only cruise ship “in town” and we had a prize place tied up on the quay at the end of the busiest shopping street in the town.

By 9:30am we had got off the ship, found a bank with an ATM and got some local money, been shown (without having to ask!) to a taxi rank and had got a taxi ride out to the Auckland Museum. Although it is known as the Auckland Museum, its real name is the Auckland War Memorial Museum – a cause of a little confusion. But we got to the right museum which houses the most extensive collection, among many other subjects, of Maori art. The museum is built on the top of a hill in the centre of a park – the Domain – overlooking both town and sea. As it did not open until 10am, we had a good walk around the outside and looking down on the park and town.

We had decided to go to the museum by ourselves as we do not like being “hurried along” as part of a group to visit a museum. The museum is excellent – very pleasant “ambiance”, friendly helpful (they even lend you dollar coins to open the boxes to store your bags during the visit etc and just say “can you bring it back when you have finished?”), lots of multi-ethnic school groups with drawing books to make sketches of the exhibits, special areas for school activities etc. As “my wife and I” do not necessarily have the same interests or reading speeds, each one did their own tour of the museum and met back at the entrance at a pre-arranged time (yes we did get back there within a few minutes of each other!)

The ground floor is “people” oriented: both Maori culture and artifacts and early European – from the first settlers through to the “immigration” explosions of the 50s & 60s. The first floor is dedicated to geography, geology, plants, animals etc of NZ and the 2nd floor to the different aspects of the NZ participations (as part of ANZAC) in WW1 & WW2 (and subsequent UN peace missions). We were told by a guide during the afternoon that WW1 had had a terrible effect on NZ – the population was only 1 million in 1914 and 100,000 men were called up and sent to Europe (and the Dardanelles) only to come home in 1918-1919. The effect on both the NZ society and economy was disastrous. I saw on the list of dead many non-European names (certainly Maoris) and you can wonder what they thought about being sent to Europe to fight against an enemy they had never heard of and for a country that had still not given them the vote!

And the exhibits were excellent – above all in the Maori section. Other than masks, statues etc, there was an original canoe from the 1800s which was used to carry up to 100 warriors to war, a Maori village hall complete with decorations and a wooden granary store carved over the walls, facades with statues  etc. Other than Maori and European immigrants there were sections on Chinese, Japanese, Egyptian and even Creek history and culture which I must admit to just walking through.

I did not spend much time on the first floor either – skeletons of Moa (big birds now extinct) emus etc and even dinosaurs! And lots of insects, small birds, vegetation etc: a natural history museum. I did stop for some time to read all the panels concerning volcanoes as that appears to be of major importance in the south Pacific, including Auckland.

The second floor was quite interesting. In addition to the Spitfire Mark V (1944-5 vintage – made available by the RAF after pressure by Air Marshall Park – the NZ head of Fighter Command in S.E. England during 1940-42), there was a Mitsubishi Zero on a stand and a V1 Doodlebug hanging from the roof. But above all lots of WW1-2 memory artifacts, photos, army kit, guns etc and walls and walls of names of dead soldiers, sailors and airmen.  And above-all hundreds of handwritten notes being pinned by visitors/families on specially designed “memory boards” – notes recalling their parents or grandparents etc who had been called up for the Wars. And there was a library where dozens of people were consulting military records and apparently getting copies of those parts of the records concerning their families.
And it did not only concern WW1 & 2 but also all the campaigns there-after in the name of UN peace keeping missions.  

After a taxi ride back to the ship and a “bite to eat”, we joined the afternoon Costa excursion bus ride. First stop – back to the Domain Park but this time to visit a “Winter Garden” – Kew Gardens divided by 50. Pleasant enough but not worth a 45 minute visit (including the endless queues for a single toilet!).
Then across the harbor bridge to Devonport on the other side of the harbor, opposite the main city. Some nice housing along the banks of the bay – Georgian or Victorian in inspiration and apparently widely sought after by the more affluent members of society.

The guide was a very pleasant young NZ of maybe 28-30 years old who started by saying that he lived in Wellington and that he would discover Auckland the same time as we would, though he had been reading up on the subject in the last few days. And that he had got the job as there was a shortage of French speakers in Auckland! Normally he taught adolescents with learning problems. We did not tell him that given the behavior of some of the clients on the bus/boat, he would be better off with nursery school experience! 

In fact he was really not much use as a guide but we did have some very interesting chats with him about NZ as it is today and especially the role and position of Maoris in NZ today. Although their land rights have been recognized and there is a very strong drive to “promote” Maori culture etc (Maori is an official language alongside English and sign language for the deaf), Maoris are still educationally and socially “underprivileged” – they make up 10% of the population and 50% of the prison population! And many Maori parents do not elect to have their kids partially taught in Maori in state schools where it is an option. Nor do they speak Maori with their kids at home. So our guide was quite pessimistic about the long term future of the language. He himself had learnt Maori at school as an option. We also learnt that many people from NZ consider Aussies to be big mouth, “know-it-alls” who have an inflated appreciation of their own value. Sounds familiar? 

The next day we were up fairly early and walked through the down town area to the Sky Tower and took a ride up to the second floor – 220 meters above the town. Good blue sky and a view for tens of miles around – in fact we could readily see how the city had been built on volcanoes and how some of the islands in the bay were nothing more than volcanoes with their centers being the cavities. Thereafter we split and Mrs B went shopping whereas I dashed off to the Maritime Museum down by the port.  Some more Maori canoes and sailing boats plus early NZ fishing boats etc. But a significant part of the museum was dedicated to large ship racing – Whitbread Cup, Americas Cup etc – with the 1995 New Zealand boat managed by Peter Blake which won the America Cup (or so I may have mistakenly understood). Peter Blake is clearly a much mourned national hero.

There were also some interesting sections on the discovery of NZ – the Spanish, then Abel Tasman, a French expedition and then Captain James Cook with copies of many of his observations, first maps etc. And yet further sections on the massive immigration by sailing ship, steam ship and modern cruisers from Europe to NZ starting in the 1830s and going on to the 1960s. Now most of the immigration is from S.E. Asia and war zones (Afghanistan, Iraq, Syria…).

I finally got back to the cabin as agreed for 12am - but no Mrs Blight! Costa had announced “Last aboard at 12.30, ship leaving at 13.00!” What am I going to tell Christine’s family if the boat (and I) leave without her? I went to the top deck to try to either find her or see her on the quay but nobody! I then went back down to the cabin at 12h45, getting quite concerned – and there she is! She had got waylaid by the elderly lady on our table who wanted her to help her buy some wool & knitting needles and they were still in the shop at 12:20! They must have been among the last to board as the ship left the quay on time at 13.00 as the Captain had planned!


Entrée du Musée


Façade




Un "grenier" maori sur pilotis


Maison vue de l'extérieur. malheureusement sous échafaudage.
Représentation de l'ancêtre qui protège la maison.
Bateau.
Maison de style colonial.

Rue de Devonport.
La Sky Tower d'où se jettent les fous de saut à l'élastique! 

Intérieur d'une salle commune d'un village maori. C'est à nouveau tout mélangé...

Déco murale...


Bateau de 25 m de long pouvant accueillir 200 passagers.

Statue "tiki". Les 3 doigts sont suivant les explications, la représentation des 3 niveaux de connaissances dans le Wahana, si j'ai bien compris,  le lieu où se trouvent les ancêtres et les Dieux.


Masque sur la proue d'un navire.

Oreillers...Apparemment ça évite de transpirer quand il fait chaud...

Bas de Queen Street, rue commerçante principale d'Auckland.

On peut voir l'influence britannique...C'est le 2ème sport national après le rugby!

Vue de la ville depuis la banlieue chic de Devonport.

Skyline!


la fameuse Sky Tower

Le volcan qui entre en éruption tous les 400 ans!

Auckland by night depuis le Deliziosa!

Sortie du port et début de Queen  Street

Un des nombreux cratères de volcans éteints.

Mes pieds et sous mes pieds 220 m de vide...

Et toujours le Costa...

Le "Harbour Bridge".

No comment...


Le pont supérieur du Deliziosa comme vous ne l'avez encore pas vu...!

Victoria Street.

Très surprenant pour nous : le conseil municipal fait voter les gens afin de prendre des mesures de rénovations des transports en commun ou pas, c'est à dire la construction d'un tram. A droite, passent les gens qui sont pour, et à gauche ceux qui sont contre. Un décompte s'affiche sur le portique. En plus ils votent par internet sur la site de la mairie!

la sky Tower  et down town

Une des nombreuses îles volcaniques.



     


12 commentaires:

  1. Merci pour ces commentaires très intéressants sur la culture Maori.Je comprends votre fascination pour La Nouvelle Zélande et votre regret de ne pas être restés plus longtemps.Espérons que l'Australie vous plaise encore plus. Bises et bonne continuation.

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  2. Comme vous êtes beaux et bronzés!!
    C'est vrai que c'est curieux de vous voir sur le pont du bateau et à quai. John, très bon choix de lunettes!! Nous, ici, les jours rallongent et on commence à sentir la fin de l'hiver.
    Gros bisous

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  3. Finalement tu aurais pu faire un super prof d'histoire!!! Tu fais tes commentaires de mémoire? Il est vrai que la Nouvelle Zélande doit être un magnifique pays, et si là-bas il n'y a pas de stress je crois que je vais n'y exiler!!!
    Bisous à vous deux et bonne poursuite en Australie.

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  4. C'est toujours aussi passionnant de vous lire. Encore un destination à ajouter à la liste des pays que j'aimerais visiter...c'est trés éloigné de l'image que j'en ai car pour moi la Nouvelle zelande est définitivement rattachée au film "La leçon de piano" et son atmosphère pluvieuse et sombre..Ca doit vous changer de rencontrer partout des gens agréables et accueillants... attention au choc du retour...Michel et moi vous embrassons.

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  5. merci pour tes explications on voyage aussi avec vous ;) en petit on prend pas trop place ;)) mais du temps car tu nous écris plein chose et les photos sont toujours aussi superbes ;) biz et vive la fougère ;p laetitia

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  6. Encore un article qui donne envie de voyager !
    Be careful Christine, I think if you're late the ship doesn't wait for you...I remember, when we did our cruise, passengers missed the departure. The cruise employees picked their luggage on their cabin and put it on the quay...We felt so sorry, thinking of them taking a plane or a train to join the next city. And we were in Europe !
    Gros bisous
    Constance

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  7. On vous envoie de grosses bises depuis les Menuires où l'on vient de passer une belle journée de ski. On en a bien profité car on nous annonce la neige a partir de demain.
    On attend les nouvelles de Sydney avec impatience.

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  8. Vous êtes à un endroit qui nous fait rêver et qui est dans la liste des pays à visiter absolument. La Nouvelle-Zélande, l'Australie, ... quelle chance!!! Cela a l'air magnifique. Vous devez être heureux comme tout!
    Gros bisous de La Ciotat sous la pluie.

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  9. Toujours aussi intéressant à lire! Encore une destination qui fait envie mais un peu loin! Aujourd'hui j'étais à Lagnieu et j'ai eu de vos nouvelles par Tiffany à la webcam! bises et bonne route! enfin bonne mer! Agnès

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  10. Encore une "édition" passionnante et des photos de vous deux et bien belles photos ; bravo !
    Un peu ému de voir que les NZ ont fait des milliers de km pour donner leur sang pour un pays dont, comme dit John, ils ne connaissaient quasiment pas l'existence...Mais lisez plutôt :
    Le Quesnoy se situe dans le sud-est du département du Nord, à 70 km de Lille.
    En 1918, Après avoir résisté aux attaques allemandes du printemps 1918, les armées alliées, placées sous le commandement du Général Foch, lancent une contre-offensive générale tout au long du front. L’armée britannique libère Lille et Douai le 17 octobre 1918.
    Mais c’est à la New Zealand Division qu’incombe alors la libération du Quesnoy : Le Quesnoy est libéré par les « Kiwis ».
    Derrière les fortifications érigées par Vauban, la garnison allemande qui tient la ville est décidée à résister. Mais les tirs précis des artilleurs néo-zélandais créent la confusion chez les défenseurs Allemands et les contraignent à capituler. Belle histoire dont je ne connaissais pas tant de détails… Je vais prendre un billet pour Auckland et serrer la main de tous les NZ que je vais rencontrer dans la rue et boire une bonne bière avec chacun !!
    Merci à vous deux et Bonne Australie !
    Raf

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  11. Super cours d'histoire, ça ne nous fait pas de mal bien au contraire......
    Encore, encore pleins de commentaires et de photos svp....Merci
    BISES

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